Crise au Darfour : le sang, la faim et le pétrole (www.michelcollon.info)
-------Message original------- De : Michel Collon Date : 31/03/2009 13:33:57 A : Sujet : Crise au Darfour : le sang, la faim et le pétrole (www.michelcollon.info)
| ||
|
La grande presse capitaliste serait "libre", "neutre" "démocratique" et "indépendante". Elle n' est pas censurée, nous dit-on... En réalité, nous payons pour obtenir des scoops, des informations manipulées, destinés à fabriquer notre opinion. Elle vit principalement de la publicité reçue des grosses sociétés multinationales.
-------Message original------- De : Michel Collon Date : 31/03/2009 13:33:57 A : Sujet : Crise au Darfour : le sang, la faim et le pétrole (www.michelcollon.info)
| ||
|
Prière de diffuser ce message - Pour recevoir ou ne plus recevoir mes messages ou m'envoyer vos commentaires, écrivez à : Antonio Artuso, Montréal, Canada - pueblo@sympatico.ca
Please circulate this message - To receive my messages, to be removed from my list or to send comments, please write to: Antonio Artuso,
Por favor difundir este mensaje - Para recibir mis mensajes, dejar de recibirlos o enviar sus comentarios escriba para: Antonio Artuso, Montreal, Canadá - pueblo@sympatico.ca
La ville de Strasbourg transformée en bunker pour le sommet de l'OTAN
L'OTAN (Organisation du traité de l'Atlantique Nord) est un pacte militaire dirigé par les États-Unis et appuyé par plusieurs puissances impérialistes, qui vise à étendre l'hégémonie mondiale de l'impérialisme états-unien. Contrôle militaire pour établir ou renforcer le contrôle économique, politique, idéologique. L'OTAN constitue l'une des pires menaces militaires pour la classe ouvrière mondiale et les peuples du monde tous les peuples et nations de la terre, pour les droits démocratiques, pour le droit international, pour la paix mondiale, pour la sécurité et le progrès social.
Le Canada doit sortir de l'OTAN, cesser d'être un pays vassal, qui transforme les jeunes en chair à canon et renforce les guerres impérialistes des États-Unis.
The city of
La ciudad de Estrasburgo se convirtió en el búnker para la cumbre de la OTAN
From: rchabert [mailto:rchabert@wanadoo.fr] - Sent: Sunday, March 29, 2009 8:16 AM - Subject: Fw: [romain : paix_socialisme_communisme] Fw: [alerte_otan] "Alliance des Démocraties" : La ville de Strasbourg transformée en bunker pour le sommet de l'OTAN
From: nicolas - Sent: Sunday, March 29, 2009 11:44 AM - Subject: [romain : paix_socialisme_communisme] Fw: [alerte_otan] "Alliance des Démocraties" : La ville de Strasbourg transformée en bunker pour le sommet de l'OTAN
----- Original Message ----- From: Roland Marounek - To: alerte_otan@
Subject: [alerte_otan] "
Otan : les mesures de sécurité en justice
http://libestrasbou
OTAN - Le tribunal administratif de
+++++++
Les barrières Vauban ont disparu de Paris, et pris le chemin de
Jamais, pour l'organisation d'un grand événement, le dispositif de sécurité n'avait atteint ces proportions. Depuis le 20 mars, et jusqu'au 5 avril, la
Le dispositif devrait être confirmé par la ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, sur place, lundi 30 mars. Par comparaison, le 60e anniversaire du débarquement en Normandie en 2004, en présence de nombreux chefs d'Etat et de la reine d'Angleterre, avait mobilisé 65 unités mobiles. Le G8 d'Evian en 2003, 60. "La venue d'Obama fait flipper tout le monde", remarque un responsable policier. Les Allemands, co-organisateurs du sommet à Kehl et
Deux zones, rouge et orange, ont été délimitées dans le centre-ville où la circulation sera très réduite. Chaque résident, ou commerçant, devra se munir d'un badge. La police a prévu d'en distribuer 44 000. Les autoroutes A350 et A35 seront bloquées. Treize établissements scolaires vont être fermés, ainsi que 25 terrains sportifs. La collecte des déchets sera modifiée, les marchés annulés, les plaques d'égout scellées !
Un climat de guérilla s'est installé. Déjà, les drapeaux de "l'ennemi" ont été arrachés : les étendards arc-en-ciel des anti-OTAN ont été retirés par la police des balcons. "Je trouve inacceptable que l'on cherche à brider la libre expression des habitants", proteste le maire (PS), Rolan Ries, relayé sur ce point du PCF au MoDem.
Sans parcours officiel encore, la manifestation organisée côté français, avec tout ce que la gauche compte d'associations et de partis politiques, devrait partir du jardin des Deux-Rives. Le cortège allemand, lui, projetait de la rejoindre sur le pont de l'Europe. Voilà pour la partie "officielle"
"On a bien compris que le gouvernement voulait jouer la confrontation physique, on utilisera d'autres armes", dit un militant. Dix à vingt actions de blocage sont envisagées avec l'espoir de pénétrer dans les zones interdites. "Ça va être beaucoup improvisé par des petits groupes selon la théorie du chaos", annonce Xavier Renou, du mouvement des Désobéissants. La police s'attend à tout. Certains responsables ont même évoqué de folles actions telles que la coloration symbolique du Rhin...
Isabelle Mandraud et Sylvia Zappi
__,_._,___
26/03/2009 17:06 BRUXELLES, 26 mars - RIA Novosti. "Ce n'est pas la "démondialisation" du système financier et économique, mais sa "remondialisation" qui aidera à surmonter la crise actuelle", a déclaré jeudi le président de la Commission européenne José Manuel Barroso. "Il ne faut pas renoncer à la mondialisation", a-t-il affirmé à l'approche du sommet du G-20, proposant de "remondialiser" le système financier international et non la "démondialiser". Le chef de l'exécutif européen espère que les participants au forum de Londres parviendront à coordonner les mesures appelées à endiguer la crise financière et à stimuler la croissance économique, tout en favorisant l'ouverture de l'économie mondiale. Il attend également que le sommet du G-20 marque le début d'une réforme des institutions financières internationales afin qu'elles deviennent "plus représentatives et plus responsables". Commentaire : Barroso a donc la solution : en fait, tous les problèmes viennent de ce que l'économie mondiale n'était pas assez ouverte et que la « mondialisation » n'était pas assez « mondialisée ». Il faut donc « remondialiser » la « mondialisation ». C'est clair non ? Rappelons quand même que Barroso : - est l'un des poulains, depuis 1976, de Franck Carlucci ancien DGA de la CIA et actuel administrateur du fonds Carlyle dans lequel on trouve entre autres les familles Bush et Ben Laden ; - est actuellement Président de la Commission européenne et, à ce titre, détient un pouvoir très largement supérieur sur les destinées des Français que ne peut l'avoir l'hôte actuel de l'Elysée ; - va très probablement être reconduit dans ses fonctions pour 5 ans cette année, puisque, au Parlement européen, il est soutenu à la fois par les conservateurs et par les socialistes. |
Une rémunération plus qu'une prime
Résumons d'abord ce qu'est une stock-option. Il s'agit de la possibilité d'acheter une action à un prix donné quel que soit son cours. Exemple : un Pdg bénéficie de stock-options à 20 euros l'une. Si le cours de l'action est de 50 euros, il peut « exercer son option », c'est-à-dire bénéficier d'actions au prix de 20 euros pour les revendre à leur cours réel et donc empocher une plus-value de 30 euros. Voilà rapidement résumé le principe de base des stock-options. Au départ, ces dernières ont été utilisées dans les sociétés qui venaient se créer et qui n'avaient pas les moyens d'offrir des salaires mirobolants à leurs dirigeants et leurs cadres. C'était le cas notamment des entreprises technologiques de la Silicon Valley.
Mais le système a rapidement dérapé et les stock-options sont devenues des rémunérations complémentaires pour nombre de compagnies quelle que soit leur taille. Et très vite, est apparue la contradiction majeure, pour ne pas dire le principal danger, de ces salaires additionnels. Comment empêcher un patron détenteur de stock-options de ne penser qu'à une seule chose, en l'occurrence l'augmentation du cours de l'action de son entreprise. En effet, plus ce cours est élevé et plus la plus-value potentielle à réaliser avec les stock-options est importante. C'est ce qui peut conduire des dirigeants à favoriser le cours de Bourse au détriment du développement à long terme de l'entreprise ou, bien pire, au détriment de l'emploi des salariés étant entendu que l'annonce d'un plan de licenciement provoque souvent une hausse des cours.
C'est donc le caractère pervers de ce mode de rémunération qui pose problème, sans compter l'aspect disproportionné des sommes en jeu. Pour se défendre, le patronat, qu'il soit français ou d'ailleurs, affirme que les stock-options sont un moyen de fidéliser les dirigeants et cadres d'entreprises. L'argument vaut ce qu'il vaut. On sait aujourd'hui que nombre de patrons ont bénéficié de stock-options alors que leurs sociétés perdaient de l'argent. D'autres ont vendu leurs actions quelques jours avant l'annonce de mauvaises nouvelles qui ont fait baisser le cours de l'action. Du coup, nombreux sont ceux qui incitent les autorités politiques à alourdir la fiscalité des stock-options, ou alors, à étendre la période durant laquelle leurs détenteurs ne peuvent les exercer.
Un cas moral
Mais encadrer l'emploi des stock-options ne suffira pas. La véritable question, basique mais qui reste posée, concerne avant tout le niveau de rémunération des patrons. Au nom de quoi, un Pdg toucherait-il jusqu'à cent fois le salaire moyen dans son entreprise ? Sur le plan moral et éthique, cette réalité est indéfendable et rien, pas même des qualités d'excellent manager, ne justifient un tel écart. Quant au plan économique, on commence à réaliser qu'une entreprise dont les dirigeants sont trop bien payés présente tous les symptômes d'une république bananière avec de hauts niveaux de corruption interne et une large démotivation du personnel de base. A bien des égards, la question de la rémunération des patrons reflète bien les dérives actuelles du système libéral.
Qui a le goût de l'absolu renonce par là au bonheur
A l'origine du pittoresque il y a la guerre et le refus de comprendre l'ennemi: de fait, nos lumières sur l'Asie nous sont venues d'abord de missionnaires irrités et de soldats. Plus tard sont arrivés les voyageurs- commerçants et touristes- qui sont des militaires refroidis: le pillage se nomme "shopping" et les viols se pratiquent onéreusement dans les boutiques spécialisées. Mais l'attitude de principe n'a pas changé: on tue moins souvent les indigènes mais on les méprise en bloc, ce qui est la forme civilisée du massacre; on goûte l'aristocratique plaisir de compter les séparations. "Je me coups les cheveux, il natte les siens; je me sers d'une fourchette, il use de bâtonnets; j'écris avec une plume d'oie, il trace les caractères avec un pinceau; j'ai les idées droites, et les siennes sont courbes: avez vous remarqué qu'il a horreur du mouvement rectiligne, il n'est heureux que si tout va de travers." Ca s'appelle le jeu des anomalies; si vous en trouvez une de plus, si vous découvrez une nouvelle raison de ne pas comprendre, on vous donner, dans votre pays, un prix de sensibilité. Ceux qui recomposent ainsi leur semblable comme une mosaïque de différences irréductibles, il ne faut pas s'étonner s'ils se demandent ensuite comment on peut être chinois. Continuer la lecture 'D'une Chine à l'autre par jean paul sartre (la révolution contre le pittoresque ou le refus de comprendre l'ennemi): extrait'
Cet article paru dans le quotidien d'Oran nous paraît illustrer certaines de nos interrogations récentes. Il démontre d'abord comment le terrorisme en Algérie a eu pour finalité première de restreindre au néant les capacités d'expression du mécontentement citoyen, celui des jeunes, des travailleurs face à la politique qui s'est imposée au niveau mondial sous le nom de néo-libéralisme, ici il s'agit du droit de manifester. L'interdiction sous pretexte du danger terroriste n'a été que "suspendue" pour autoriser une manifestation récente contre le massacre de Gaza (photo ). Cette restriction est d'autant plus préoccupante laisse entendre l'article que les procédures démocratiques "parlementaires", celle du vote apparaissent en Algérie comme en France incapables de faire bouger l'inertie du système. Enfin, une autre caractéristique de cette interrogation qui là encore la rapproche des notres, est la conscience de la gravité de la situation. Il y a cette "attente" que décrit Jean paul Sartre à propos des masses pékinoises qui ne font pas l'histoire mais la subissent, l'attente de lespérance et la peur. Dans un tel contexte l'explosion des pétards est la reproduction de ce qui peut arriver, ils sont interdits, mais qui profite ? Le risque d'explosion, de violence sans but est tel que chacun retient son souffle et revendique les moyens d'une véritable participation démocratique qui permettrait la non-reproduction des mêmes et du même, peut-être économiserait une révolution.(note de Danielle Bleitrach)
Continuer la lecture 'Voter c'est bien, marcher c'est mieux par Ahmed Saïfi Benziane'
On a beaucoup parlé ces derniers jours en France des salaires des patrons. Il est vrai que l'affaire des stock-options des quatre dirigeants de la Société Générale a beaucoup ému l'opinion publique. Comment accepter que ces hommes s'octroient une rémunération supplémentaire de près d'un million d'euros à eux quatre, et cela, à l'heure où le chômage frise des records et où les salariés sont invités à se serrer la ceinture ? Le tollé général et les pressions politiques ont forcé la présidence de la « SG » à faire machine arrière, mais cette question des salaires complémentaires reste posée.
Des enfants de détenus-disparus à La Plata en Argentine sous la dictature vont intenter une action en justice contre les banques qui ont financé la dictature, cette machine de mort n'aurait pu durer sans cette aide. Les banques avaient des informations précises sur ce qui est arrivé, ce qui aurait pu leur permettre d'imaginer le mal qu'elles ont causé
Leandro Manuel Ibáñez et María Elena Perdighe ont porté plainte contre les banques étrangères qui ont financé la dictature qui a séquestré et fait disparaître leurs parents en 1976 et 1977 à La Plata. Un cabinet d'avocat avec l'aide d'experts de l'Université de New- York a évoqué des antécédents dans le monde, comme le Tribunal de Nuremberg -qui a condamné les entreprises allemandes qui ont vendu le gaz létal qui a servi dans les camps de concentration, qui ont employé une main d'oeuvre d'esclaves et ont donné de l'argent aux nazis-, et la Convention contre le Génocide qui sanctionne non seulement les auteurs mais aussi leurs complices. « Je veux savoir qui a donné de l'argent à la junte militaire qui gouvernait ce pays en faillite mais qui pouvait payer les salaires des assassins de mes parents et acheter des machines pour les torturer » explique Maria Elena Perdighe.
La Reuters est en tête de liste parmi les agences de presse internationales qui présentent Pedro Miret et Osmany Cienfuegos comme des figures historiques destitués par Raúl Castro.
Vient ensuite EFE qui affirme qu' « ils ont été destitués le 2 mars dernier comme vice-présidents du Conseil des ministres».
Le prétexte à cette intrigue largement divulguée par le monde a été la publication dans la Gaceta Oficial du 24 mars du décret concernant la restructuration du Conseil des ministres adoptée le 2 mars.
Pedro Miret est un magnifique compagnon, qui a de grands mérites historiques que nous respectons tous et pour qui je sens une grande affection. Il y a des années qu'il ne peut plus occuper de responsabilités pour des raisons de santé. La lente progression de la maladie a entraîné la cessation progressive de son activité politique. Il n'est pas juste de le présenter sans plus comme quelqu'un de « destitué ».
Continuer la lecture 'RÉFLEXIONS DU COMPAÑERO FIDEL LE MENSONGE AU SERVICE DE L'EMPIRE'
Manuel Sanchez, Caracas, 14 Mars 2009 (Pour www.greenleft.org.au) Traduit de l'anglais par Marc Harpon pour Changement de Société
Dans certains pays, la sévère crise du capitalisme a eu pour résultat un réalignement des gouvernements respectifs sur les pouvoirs impérialistes- et l'adoption de différentes formes de coupes budgétaires qui affectent les conditions de vie de la majorité.
Au Vénézuéla, le contraire se passe.
Avant et après la victoire des forces pro-révolution lors du referendum du 15 février, pour autoriser les élus à entrer en lice pour être réélus plus d'une fois, la décision d'aller de l'avant dans la transition vers le socialisme a été ratifiée.
Article publié le 24 mars 2009
L'Amérique latine vit sans aucun doute un changement d'époque. Dans les « post-politiques » années 90, l'horizon ne laissait pas voir un degré d'intégration régionale tel qu'aujourd'hui, accompagnée d'une érosion visible des « relations charnelles » avec Washington et d'une multitude de nouveaux alliances comme avec la Russie, la Chine ou l'Iran. La mobilisation sociale n'avait pas encore accumulé une force suffisante pour destituer des gouvernements et modifier le climat idéologique (« néolibéral ») dominant, et le vote n'était toujours pas la voie privilégiée pour l'accession au gouvernement d'un ensemble de gauches post Mur de Berlin.
Un militaire nationaliste au Venezuela, un indigène aymara en Bolivie, un ex-ouvrier métallurgiste au Brésil, une femme divorcée et agnostique au Chili et une autre poussée par son époux en Argentine, un ex-évêque au Paraguay, un économiste keynésien en Equateur ou un oncologue moralement conservateur en Uruguay Les gauches sud-américaines constituent une carte dont les contours restent à tracer. La relation entre les discours et les pratiques, l'équilibre complexe entre continuités et ruptures et la diversité des acteurs et des réalités nationales sur la mosaïque bariolée des gauches sud-américaines, introduisent de nombreuses difficultés au moment de l'analyse qui résistent aux conclusions impulsives ou aux clichés qui comme le terme malléable de « populisme » - épuisent la discussion avant de l'ouvrir.
Je suis préoccupé par l'Europe. En fait, je suis préoccupé pour le monde entier : il n'existe pas de refuge contre cette tempête économique mondiale. Mais la situation en Europe m'inquiète plus encore que celle des Etats-Unis.
Soyons clair. Il ne s'agit pas de réitérer la critique américaine habituelle de l'Europe déplorant que les impôts y soient trop élevés et les avantages sociaux trop généreux. L'importance de ses Etats-providence n'est pas la cause de la crise actuelle en l'Europe. De fait, ils sont un facteur réel d'atténuation de cette crise.
Le danger immédiat et manifeste pour l'Europe à l'heure actuelle réside ailleurs, dans l'incapacité du continent à réagir efficacement à la crise financière.
L'Europe agit trop peu en termes de politique budgétaire et monétaire : elle fait face à une crise au moins aussi grave qu'aux États-Unis, mais elle fait beaucoup moins pour lutter contre le ralentissement économique.
Sur le plan budgétaire, la comparaison avec les États-Unis est frappante. Nombre d'économistes, dont moi-même, ont fait valoir que le plan de relance de l'administration Obama était insuffisant, compte tenu de l'ampleur de la crise. Mais les mesures prises aux Etats-Unis surpassent de loin tout ce que font les Européens.
Il y a six candidats officiels à l'élection présidentielle algérienne mais aucun suspense puisque seul le candidat président est sûr de l'emporter. Il a obtenu pour cela la révision de la Constitution qui lui permet désormais de briguer un troisième mandat, ce à quoi un ami objectait"pourquoi faire tant d'histoires? Il aurait du demander un simple prolongement à vie, cela aurait économisé les dépenses électorales". Il a obtenu le soutien total des trois principales formation politiques, celui des chefs d'entreprise et de la plus grande centrale syndicale et il s'affirme "candidat indépendant" de surcroît tout en distribuant en tant que chef de l'Etat des dons à sa clientèle électorale, par exemple les dettes contractée par les agriculteurs sont effacées. Ce n'est plus une élection c'est un véritable plebiscite pourtant il existe des inconnues dans la toujours remuante Algérie.
Alors que la crise économique frappe de plein fouet le monde entier, Marx et ses successeurs font un comeback remarqué. Tandis que des éditeurs, même certains qui étaient autrefois frileux à l'égard du marxisme, publient de nouveau les uvres classiques, Études marxistes continue à offrir à ses lecteurs des analyses marxistes des grandes questions du moment, notamment de la crise économique.
En même temps, Docu-Marx vous propose plusieurs activités en liaison avec Marx ou avec l'histoire du mouvement ouvrier.
La crise économique vue du tiers monde
Acheter ce numéro
Que la crise mondiale ne soit pas uniquement financière mais frappe lourdement l'économie « réelle » devient de plus en plus évident. Restructurations et licenciements se succèdent partout, du Nord au Sud, d'Est en Ouest, dans les pays riches comme dans les pays émergents. Lors de la livraison précédente, les auteurs ont déjà mis l'accent sur le caractère systémique de la crise, qui couve selon eux depuis plus de trois décennies. Dans ce numéro-ci, nous donnons la parole à des marxistes du monde entier, des Philippines à la Grèce, du
Portugal à l'Afrique du Sud, l'occasion de révéler les effets désastreux de la crise sur les peuples du tiers monde et de crever quelques mythes néolibéraux. Tous sont d'accord que la crise sera longue et sévère. Tous proposent des pistes pour
que ce ne soit pas l'homme de la rue qui porte le poids de la crise et pour obliger les puissants à payer le prix du désordre qu'ils ont créé.
De la lutte de classe à la guerre tout court. Une deuxième série d'articles est consacrée à Gaza et à ce que le Parti communiste israélien refuse d'appeler une guerre, mais un massacre, ainsi qu'aux relations, analysées par Nicolas Dot-Pouillard, entre la résistance islamique et laïque, surtout au Liban et en Palestine. Le dernier mot est au poète récemment disparu, Mahmoud Darwich.
Le numéro se termine par une longue interview de Katrien Demuynck et Marc Vandepitte, les auteurs d'un nouveau livre sur Fidel Castro et les particularités de la révolution cubaine.
Abonnez-vous ici à des conditions avantageuses.
La crise du système
Acheter ce numéro
« Le nouveau numéro d'Études marxistes m'est parvenu en début de semaine. Je l'ai presque terminé et je peux le dire : il est très bon. »
Un abonné
« Félicitations. De l'excellent travail. Des titres simples et frappants et des statistiques claires. »
Un abonné
« Nous avons lu le livre La crise du système avec beaucoup d'intérêt. Il donne d'une manière compréhensible un aperçu des causes de la crise actuelle du système, du rôle de l'autorité publique, de l'argent et du travail et met donc aussi le néolibéralisme en question. »
Un secrétaire syndical
« Ouvrage stimulant, dans lequel Jo Cottenier et Henri Houben interprètent la crise actuelle comme une crise de surproduction reportée depuis trois décennies par l'accroissement du crédit, rendu lui-même nécessaire par l'appauvrissement de la masse des travailleurs, et qui aboutit aujourd'hui à cette destruction massive de capital, seule solution pour
tout recommencer. »
Démocratie, 1er mars 2009
Samedi 4 avril
Visite à l'exposition
FGTB : la Centrale Générale fête ses 100 ans
NOUS SOMMES LES ARTISANS D'UN NOUVEAU MONDE
en compagnie d'Arnaud Staquet, professeur d'histoire
Rendez-vous le samedi 4 avril à 14 heures aux Ateliers des Tanneurs, 58 rue des Tanneurs, 1000 Bruxelles
Prix : 3
Conférence-débat le vendredi 24 avril à 20 h (en français)
L'athéisme est souvent considéré comme une coquetterie à l'usage d'intellectuels individualistes et d'une certaine "gauche caviar".
Ne serait-il que cela ?
N'est-il pas bien plus que cela ?
N'a-t-il pas été aussi, sinon même d'abord, une pensée de contestation sociale et politique ?
Qu'en a-t-il été dans l'histoire de ces derniers siècles ?
Et qu'en est-il aujourd'hui ?
Comment s'inscrit-il dans l'engagement des progressistes et de la gauche dans les luttes sociales et altermondialistes ?
Pour en débattre, l'Institut d'Études Marxistes a invité :
Rdv au Centre international, 171 bd Lemonnier 1000 Bruxelles, le vendredi 24 avril à 20 h 00
PAF: 2,5
Samedi 16 mai, Promenade Marx, en compagnie de Frans De Maegd
La promenade, qui dure environ deux heures et demie, part en direction de la cathédrale Sainte-Gudule et se termine à la Grand-Place. Elle suit les traces de Karl Marx, qui a vécu à Bruxelles comme réfugié politique de 1845 à 1848. (Lire plus)
Rendez-vous le samedi 16 mai à 14 heures au Centre international, 171 bd Lemonnier, 1000 Bruxelles
Prix : 2,5
Inscription préalable souhaitée
La prochaine Université marxiste aura lieu du samedi 22 au mercredi 26 août 2009 inclus (accueil le vendredi 21 au soir) à l'Internat de Berlaymont, 10D drève d'Argenteuil, 1410 Waterloo.
Pour recevoir le programme des cours en primeur, abonnez-vous au bulletin d'information de l'INEM.
12 et 13 septembre 2009
Trois fois Trèves
Prix : 80 par personne. Minimum 25 participants.
Inscription et acompte de 25 obligatoires avant le 15 juin, à verser au compte de l'IMAST (001-2433847-96)
Guides : Frans De Maegd et Lucien Materne
Départ d'Anvers (gare de Berchem) samedi 12 septembre à 7 h 30
Départ de Bruxelles (métro Roodebeek) samedi 12 septembre à 8 h 30
Renaat Willockx, récemment décédé, a raconté sa vie à la fin août 2007.
Dans ce témoignage d'environ 55 minutes, Renaat explique comment dès sa jeunesse il s'est révolté contre la société actuelle et comment il est arrivé à mettre sa vie au service de la classe ouvrière et du socialisme.
Cette première partie couvre la période de sa naissance en 1941 jusqu'au moment où il est allé travailler en usine, en 1972, comme militant d'Amada (prédécesseur du Parti du Travail de Belgique).
Le DVD coûte 6 (Attention ! il existe uniquement en néerlandais.) À commander à docu@marx.be.
Ce DVD a été produit par AV Marx, le service audio-visuel de Docu-Marx, et l'Institut d'études marxistes www.marx.be
L'Institut d'études marxistes s'est fixé comme objectifs
L'Institut d'études marxistes
Vous avez acquis une nouvelle adresse e-mail et vous voulez qu'elle remplace votre ancienne adresse dans notre liste d'adresses ? Vous pouvez facilement arranger cela vous-même. Désinscrivez-vous d'abord en suivant la méthode décrite ci-dessous, puis réinscrivez-vous avec votre nouvelle adresse et c'est fait.
Vous préférez ne pas suivre cette méthode ou vous n'avez pas réussi ? Communiquez-nous votre nouvelle adresse par e-mail, mais n'oubliez pas de mentionner votre ancienne adresse, surtout si la nouvelle ne ressemble pas à l'ancienne. Sinon, il nous pourrait être impossible de vous repérer dans notre liste
Vous pouvez vous inscrire ou désinscrire à tout moment en visitant cette page sur le site de marx.be.
Merci de votre intérêt et ... envoyez ce Bulletin à un(e) ami(e) !
Au plaisir de vous acceuillir sur notre site.
Alors que la crise économique frappe de plein fouet le monde entier, Marx et ses successeurs font un comeback remarqué. Tandis que des éditeurs, même certains qui étaient autrefois frileux à l'égard du marxisme, publient de nouveau les uvres classiques, Études marxistes continue à offrir à ses lecteurs des analyses marxistes des grandes questions du moment, notamment de la crise économique.
En même temps, Docu-Marx vous propose plusieurs activités en liaison avec Marx ou avec l'histoire du mouvement ouvrier.
La crise économique vue du tiers monde
Acheter ce numéro
Que la crise mondiale ne soit pas uniquement financière mais frappe lourdement l'économie « réelle » devient de plus en plus évident. Restructurations et licenciements se succèdent partout, du Nord au Sud, d'Est en Ouest, dans les pays riches comme dans les pays émergents. Lors de la livraison précédente, les auteurs ont déjà mis l'accent sur le caractère systémique de la crise, qui couve selon eux depuis plus de trois décennies. Dans ce numéro-ci, nous donnons la parole à des marxistes du monde entier, des Philippines à la Grèce, du
Portugal à l'Afrique du Sud, l'occasion de révéler les effets désastreux de la crise sur les peuples du tiers monde et de crever quelques mythes néolibéraux. Tous sont d'accord que la crise sera longue et sévère. Tous proposent des pistes pour
que ce ne soit pas l'homme de la rue qui porte le poids de la crise et pour obliger les puissants à payer le prix du désordre qu'ils ont créé.
De la lutte de classe à la guerre tout court. Une deuxième série d'articles est consacrée à Gaza et à ce que le Parti communiste israélien refuse d'appeler une guerre, mais un massacre, ainsi qu'aux relations, analysées par Nicolas Dot-Pouillard, entre la résistance islamique et laïque, surtout au Liban et en Palestine. Le dernier mot est au poète récemment disparu, Mahmoud Darwich.
Le numéro se termine par une longue interview de Katrien Demuynck et Marc Vandepitte, les auteurs d'un nouveau livre sur Fidel Castro et les particularités de la révolution cubaine.
Abonnez-vous ici à des conditions avantageuses.
La crise du système
Acheter ce numéro
« Le nouveau numéro d'Études marxistes m'est parvenu en début de semaine. Je l'ai presque terminé et je peux le dire : il est très bon. »
Un abonné
« Félicitations. De l'excellent travail. Des titres simples et frappants et des statistiques claires. »
Un abonné
« Nous avons lu le livre La crise du système avec beaucoup d'intérêt. Il donne d'une manière compréhensible un aperçu des causes de la crise actuelle du système, du rôle de l'autorité publique, de l'argent et du travail et met donc aussi le néolibéralisme en question. »
Un secrétaire syndical
« Ouvrage stimulant, dans lequel Jo Cottenier et Henri Houben interprètent la crise actuelle comme une crise de surproduction reportée depuis trois décennies par l'accroissement du crédit, rendu lui-même nécessaire par l'appauvrissement de la masse des travailleurs, et qui aboutit aujourd'hui à cette destruction massive de capital, seule solution pour
tout recommencer. »
Démocratie, 1er mars 2009
Samedi 4 avril
Visite à l'exposition
FGTB : la Centrale Générale fête ses 100 ans
NOUS SOMMES LES ARTISANS D'UN NOUVEAU MONDE
en compagnie d'Arnaud Staquet, professeur d'histoire
Rendez-vous le samedi 4 avril à 14 heures aux Ateliers des Tanneurs, 58 rue des Tanneurs, 1000 Bruxelles
Prix : 3
Conférence-débat le vendredi 24 avril à 20 h (en français)
L'athéisme est souvent considéré comme une coquetterie à l'usage d'intellectuels individualistes et d'une certaine "gauche caviar".
Ne serait-il que cela ?
N'est-il pas bien plus que cela ?
N'a-t-il pas été aussi, sinon même d'abord, une pensée de contestation sociale et politique ?
Qu'en a-t-il été dans l'histoire de ces derniers siècles ?
Et qu'en est-il aujourd'hui ?
Comment s'inscrit-il dans l'engagement des progressistes et de la gauche dans les luttes sociales et altermondialistes ?
Pour en débattre, l'Institut d'Études Marxistes a invité :
Rdv au Centre international, 171 bd Lemonnier 1000 Bruxelles, le vendredi 24 avril à 20 h 00
PAF: 2,5
Samedi 16 mai, Promenade Marx, en compagnie de Frans De Maegd
La promenade, qui dure environ deux heures et demie, part en direction de la cathédrale Sainte-Gudule et se termine à la Grand-Place. Elle suit les traces de Karl Marx, qui a vécu à Bruxelles comme réfugié politique de 1845 à 1848. (Lire plus)
Rendez-vous le samedi 16 mai à 14 heures au Centre international, 171 bd Lemonnier, 1000 Bruxelles
Prix : 2,5
Inscription préalable souhaitée
La prochaine Université marxiste aura lieu du samedi 22 au mercredi 26 août 2009 inclus (accueil le vendredi 21 au soir) à l'Internat de Berlaymont, 10D drève d'Argenteuil, 1410 Waterloo.
Pour recevoir le programme des cours en primeur, abonnez-vous au bulletin d'information de l'INEM.
12 et 13 septembre 2009
Trois fois Trèves
Prix : 80 par personne. Minimum 25 participants.
Inscription et acompte de 25 obligatoires avant le 15 juin, à verser au compte de l'IMAST (001-2433847-96)
Guides : Frans De Maegd et Lucien Materne
Départ d'Anvers (gare de Berchem) samedi 12 septembre à 7 h 30
Départ de Bruxelles (métro Roodebeek) samedi 12 septembre à 8 h 30
Renaat Willockx, récemment décédé, a raconté sa vie à la fin août 2007.
Dans ce témoignage d'environ 55 minutes, Renaat explique comment dès sa jeunesse il s'est révolté contre la société actuelle et comment il est arrivé à mettre sa vie au service de la classe ouvrière et du socialisme.
Cette première partie couvre la période de sa naissance en 1941 jusqu'au moment où il est allé travailler en usine, en 1972, comme militant d'Amada (prédécesseur du Parti du Travail de Belgique).
Le DVD coûte 6 (Attention ! il existe uniquement en néerlandais.) À commander à docu@marx.be.
Ce DVD a été produit par AV Marx, le service audio-visuel de Docu-Marx, et l'Institut d'études marxistes www.marx.be
L'Institut d'études marxistes s'est fixé comme objectifs
L'Institut d'études marxistes
Vous avez acquis une nouvelle adresse e-mail et vous voulez qu'elle remplace votre ancienne adresse dans notre liste d'adresses ? Vous pouvez facilement arranger cela vous-même. Désinscrivez-vous d'abord en suivant la méthode décrite ci-dessous, puis réinscrivez-vous avec votre nouvelle adresse et c'est fait.
Vous préférez ne pas suivre cette méthode ou vous n'avez pas réussi ? Communiquez-nous votre nouvelle adresse par e-mail, mais n'oubliez pas de mentionner votre ancienne adresse, surtout si la nouvelle ne ressemble pas à l'ancienne. Sinon, il nous pourrait être impossible de vous repérer dans notre liste
Vous pouvez vous inscrire ou désinscrire à tout moment en visitant cette page sur le site de marx.be.
Merci de votre intérêt et ... envoyez ce Bulletin à un(e) ami(e) !
Au plaisir de vous acceuillir sur notre site.