La Presse capitaliste est "libre". Vous y croyez ?

La grande presse capitaliste serait "libre", "neutre" "démocratique" et "indépendante". Elle n' est pas censurée, nous dit-on... En réalité, nous payons pour obtenir des scoops, des informations manipulées, destinés à fabriquer notre opinion. Elle vit principalement de la publicité reçue des grosses sociétés multinationales.

vendredi, avril 17, 2009

Chine, Tibet, Serbie, Kosovo, Otan et propaganda occidentale ...

"c'est une dictature dure et impitoyable avec ses opposants". Oui, tout le monde sait cela pour ce qui concerne le Tibet au temps de la dictature féodal des bonzes et du dalaï-lama. C' est un régime de féodaux tout puissant, peuple d'un peuple d' esclaves sur lesquels les maîtres avaient tous les droits, y compris de mort, sans aucune justice.
Aujourd'hui, le Tibet est moderne, en pleine extension sur tous les plans.
Les défenseurs du Tibet "libre" et pseudo "démocratique" feraient mieux de la fermer ... Le Tibet ne deviendra jamais un second Kosovo, une base ricaine, fabriqué à coups de missiles et de bombardement par les ricano-otano-occidentaux sur la Chine, celle-ci n'étant pas la Serbie. Le morceau est trop gros à avaler... La Chine sait où elle va.
RoRo 

Et oui,
C'est comme cela dans tous les pays, y compris en Belgique, les opposants sont poursuivis, arrêtés, tabassés !
Le capitalisme aussi est une dictature dure et impitoyable...
A quand de véritables démocraties populaires sur cette planète Terre ?
Et cela sera possible que selon les principes de bases, bien compris et bien appiqués du socialisme.
TELLE QU'ELLE EST l'histoire, réelle : La Chine s'est constituée sur plusieurs siècles, par 56 nations qui se sont unies, y compris le Tibet depuis le 13ème siècle (la suite plus tard)
Cordiale salutation.
 
Patrick

 

Date: Tue, 14 Apr 2009 16:22:08 +0000
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Subject: Re :
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Si la Chine était un pays libre...il n'y aurait pas de problèmes de média.
Mais c'est une dictature dure et impitoyable avec ses opposants. Le monde entier sait cela.
Sans même parler de l'occupation du Tibet depuis 50 ans, le peuple Chinois est la première
victime
de ce régime totalitaire d'un autre âge
Le commerce international et l'appât du gain est la seule chose qui empêche les autres pays de réagir.
Pierre



De : Patrick Wautier <patrickw0204@hotmail.com>
À : Anne Cattiez <acattiez@hotmail.com>; Annie Grangagnage <anniegggg@hotmail.com>; Arianne Wautier <kalikyle@live.be>; Binchou J-Claude <binchoujc@hotmail.com>; Cécile Horgnies <horgniescecile@hotmail.com>; christian wautier <christianwautier@gmail.com>; Clody Myrthil <cm1804@hotmail.fr>; Daniel Decroix <decroixdaniel@hotmail.com>; Françoise Cousine <fran_soleil@hotmail.com>; Gardy Mahotière Paris <gmahotiere@yahoo.fr>; Geneviève Cattiez <genevieve.cattiez@skynet.be>; Georges 2 Horgnies <fb441083@skynet.be>; Isa Kiakwama <isa_kiakwama@hotmail.com>; Isa Waut <isabelle.adam@hotmail.com>; Jean Paul Noël <jean.paul.noel@hotmail.com>; Jean-Claude Piette <piettejeanclaude@hotmail.com>; Marie-Claire Renod-Waut <marieclairewautier@hotmail.com>; Michel Thommaset <sitaygayridonc@gmail.com>; Noëlle Yv - Kal <nokalscheuer@gmail.com>; Philippe Michiels <philippe_michiels@hotmail.com>; Pierre Cattiez <pierre.cattiez@chello.be>; Pierre Thach <minh.kha2@yahoo.fr>; Serge Sprimont <sergesprimont@hotmail.com>; William de Arianne <allkwabi@yahoo.fr>
Envoyé le : Mardi, 14 Avril 2009, 13h01mn 22s
Objet :

Pour avoir un avis juste et pertinent, tel un juge d'instruction, ou un bon journaliste-écrivain, ou un bon historien, il est nécessaire de rassembler toutes les informations, de toutes les sources fiables, surtout celles qu'on nous cache délibérément « pour faire croire que… » en nous manipulant dans un sens. Il faut toujours s'inquiéter de savoir à qui profite les mensonges véhiculés dans les médias traditionnels, et cela contre qui.

Patrick Wautier

Voici l'exemple du « massacre de la Place Tien An Men » :

Six mois avant Timisoara, il y a eu Tien An Men. Les médias du monde «libre» qui ont dévoilé leur physionomie macabre lors de la mise en scène du «charnier des 4.630 cadavres horriblement mutilés» à Timisoara, avaient déjà fait la démonstration de leur rôle politique essentiel, au service de la contre-révolution, lors des événements de la place Tien An Men, en mai et juin 1989. La nuit de l'intervention de l'Armée rouge, la TV nous a montré des images de chars chinois écrasant des centaines d'étudiants paisibles sur la place Tien An Men. Le 5 juin, Amnesty International, habile machine à mensonges lorsqu'il s'agit de combattre des pays socialistes et nationalistes, a fait état de 1.300 morts au moins, certains étudiants ayant été écrasés par des tankistes sanguinaires, alors qu'ils dor­maient paisiblement dans leurs tentes.

Le dimanche 5 juin, un ouvrier communiste d'une grande usine de l'automobile avait enregistré les images du JT en vidéo. «Cette nuit, j'ai repassé ces images au moins vingt fois. J'étais arrivé à la conclusion que les commentaires des journalistes étaient mensongers et qu 'on n 'avait vu, sur ces images, aucune personne écrasée par les chars.» Plus tard, Amnesty International reconnaîtra «s'être trompé». Mais combien de gens, traumatisés par la vérité sur le communisme chinois «qui écrase impitoyablement ses étudiants pacifistes sous les chenilles de ses chars», vérité transmise par ces courageux défenseurs des droits de l'homme d'Amnesty, ont pris connaissance de ce dé­menti?

           

(…) ceux qui ont cru, à un moment ou un autre, que les étudiants de Tien An Men étaient des jeunes naïfs, politiquement vierges. Or, les preuves sont là: pour toute la direction de ce mouvement, la «liberté», c'est la liberté de l'entreprise capitaliste et de l'exploitation, la «démocratie» et le multipartisme, c'est le retour du parti fasciste du Kuomintang et de ses escadrons de la mort sur le continent chinois. La grande campagne anticommuniste qu ' Amnesty International a lancée en mai 1990 avait pour thème: «L'année passée, le printemps plein d'espoir fleurissait en Chine». (53) C 'est un mot d'ordre clairement politique qui reprend la version répandue par les stratèges de l'impéria­lisme: le mouvement pour la démocratie était un printemps plein d'espoir. Or, si Amnesty International veut faire de la politique (et elle le fait avec un grand raffinement), elle ne peut pas empêcher un débat ouvert dans ses rangs sur l'analyse de ce mouvement. Et une analyse objective mène à une conclusion incontestable: ce mouvement visait au rétablissement de la domination néo-coloniale sur la Chine età la renaissance de la domination fasciste du Kuomintang. Et c'est cette orientation que défend Amnesty Internatio­nal - Belgique, sous prétexte de «ne pas faire de politique».

 

(…) Le mouvement est clairement en perte de vitesse. Mais le noyau dur ne pense nullement à céder. Au contraire, des actions de désespoir se préparent. Les étudiants décident de continuer à occuper la place Tien An Men jusqu'à la session de l'Assemblée nationale du 20 juin. C'est-à-dire qu'ils comptent maintenir, indéfiniment, au coeur même de la capitale, une agitation qui dure depuis six semaines. Une nouvelle flambée de protestations est toujours possible à Beijing. Des troubles se manifestent déjà dans les pro­vinces. Une revue du gouvernement américain, qui cons­tate le déclin du mouvement, écrit: «En raison du flot de soutien financier en provenance du secteur privé chinois et des sympathisants d'outre-mer et du renfort par des recrues arrivant dans la capitale, il était difficile d'amener le mouvement à se dissoudre lui-même. »(64)

Après une campagne d'information de deux semaines, au cours de laquelle les autorités n'ont pas essayé d'ap­pliquer la loi martiale, elles décident de faire dégager la place par l'armée et les forces de l'ordre. Le 2 juin, elles envoient des soldats sans armes pour amener les étudiants à partir. Ce n'est nullement une «provocation», comme le dit la presse anticommuniste. L'envoi de soldats sans armes correspond parfaitement à la phase du déclin du mouvement et à la volonté du Parti de mettre fin aux désordres sans violence, politique pratiquée avec constance depuis déjà six semaines et absolument inconcevable dans n'importe quel pays impérialiste. Ce 2 juin, les soldats sans armes ont été attaqués, battus et faits prisonniers par des étudiants et des éléments déclassés.

 

(…) Le 22 mai, les étudiants de la place Tien An Men font encore monter la température. «Li Peng et Yang Shangkun ont fait un coup d'Etat contre-révolutionnaire. Ils ont renversé le secrétaire-général Zhao Ziyang. Tout le peu­ple doit écraser ce coup d'Etat et rejeter le gouvernement de Li Peng.»(69) Ecraser un coup d'Etat contre-révolu­tionnaire: cela peut-il se faire avec gentillesse et pacifisme?

 

(…)

Les émeutiers ont frappé les premiers

Au moment où les forces de l'ordre ont voulu rétablir l'ordre, après deux semaines de travail d'explication, les premiers blessés, les premiers morts aussi, sont tombés du côté de l'armée.

Le journal Libération décrit les événements du vendredi 2 juin en ces termes: «La foule se déchaînait contre les militaires, pour la plupart très jeunes et sans armes. Des

milliers de soldats venaient d'être faits prisonniers. Leurs officiers leur ordonnaient de ne pas résister.»(13) Samedi 3 juin, à 15 heures, le journaliste de Libération note que des manifestants ont mis le feu à des bus militaires. Il poursuit: «Des armes, saisies à bord de l'un d'eux, sont exposées. Pékin a déjà, en cet après-midi, un air d'émeute. "Sans violence, nous ne pouvons obtenir de changements. Nous devons nous préparer. Nous ne craignons pas la violence", lance un ouvrier. Cette violence est déjà dans l'air. Samedi, 17H15. Palais du Peuple. Des jeunes patrouillent, cailloux ou longues matraques saisies sur les policiers à la main. "Nous sommes prêts au sacrifice", hurle un orateur im­provisé. "Si l'un de nous tombe, un million se lèveront'. La foule scande : A bas le régime fasciste! De plus en plus de gens parlent de "riposter aux violences de l'Etat'. -»(74) Le soir, «sur des kilomètres, à l'ouest comme à l'est de Tien An Men, l'avenue Chang'an n'est plus qu'une suc­cession de barricades. »(15) Le journal de droite The Far Eastern Economie Review écrit: «Dans la soirée du 3 juin, une nouvelle intervention des soldats à pied et sans armes a été stoppée en face de l'Hôtel de Beijing, mais cette fois, certains soldats ont été battus brutalement par des bandes déjeunes criminels qui avaient fait leur apparition, pour la première fois, dans la zone de Tien An Men avec des barres de fer et des bâtons. Plus tard dans la soirée, lors de plusieurs incidents, des soldats ont perdu la vie, battus et frappés avec des pierres. A Chong Wen Men, le corps d'un soldat a été jeté d'une passerelle et brûlé. Dans un autre incident, des manifestants ont mutilé le corps d'un soldat.»(16) Un citoyen belge à Beijing déclare par télé­phone: «On a d'abord envoyé les chars de la 38ème armée contre les occupants de Tien An Men. Elle a essayé de le faire sans trop de violence. Elle n'y a pas réussi, il y a d'ailleurs eu des morts dans ses rangs.»(TJ)

Qui sont ces groupes de tueurs? Johan Galtung a regardé des enregistrements vidéo de la violence et écrit: «Ils sont extrêmement mobiles, jetant des cocktails molotov, sachant exactement comment détruire un véhicule, même un char. Apparemment, ils ont environ trente ans.»(78) On peut raisonnablement croire que des agents entraînés à Taiwan, cette base mondiale des escadrons de la mort, des agents qui ont pu agir depuis longtemps grâce au laxisme du gouvernement, ont joué un rôle important dans cette vio­lence. Taiwan avait tout intérêt à ce que le mouvement finisse dans le sang et il avait les moyens de réaliser les provocations nécessaires à cet effet.

Poussés délibérément à la mort?

Même un journal aussi anticommuniste que Libération, se voit obligé d'évoquer l'hypothèse selon laquelle les diri­geants du mouvement étudiant auraient provoqué délibé­rément la fin violente d'un mouvement qu'ils savaient perdu. Libé cite un dirigeant arrivé en Occident, Lao Mu: «Deux semaines avant le massacre, nous savions que tout était perdu et WangJuntao a fait préparer des faux papiers pour couvrir la fuite des intellectuels et des quelques étudiants qui dirigeaient le mouvement, dont moi-même.» Et Libération de formuler la question qui s'impose: «Pourquoi Wang Juntao s'est-il opposé à /'évacuation de Tien An Men, alors que les informations communiquées aux activistes par la journaliste Dai Qing quelques jours

avant, sur l'imminence d'une intervention militaire indiscriminée étaient fiables? Certains dirigeants du mou­vement ont-ils estimé qu'un martyr servirait davantage leur cause? "Toute la stratégie du mouvement était basée sur le martyr", faisait remarquer récemment un des leaders clandestins d'un réseau démocratique.»(79)

L'armée avait le devoir de mettre fin à l'émeute

Le 4 juin, il était devenu urgent que l'armée intervienne pour mettre fin aux provocations meurtrières et à l'occu­pation de la place Tien An Men.

Depuis le 1 juin, The Voice of America prétendait systématiquement que des unités de l'armée étaient sur le point de s'affronter entre elles, que des soldats refusaient d'imposer la loi martiale, que le gouvernement n'avait plus aucune assise. En d'autres termes, l'émetteur de la CIA incitait ouvertement à l'insurrection.

L'armée ne pouvait pas s'éclipser devant la violence et les meurtres des émeutiers, elle ne pouvait pas non plus permettre que les anticommunistes continuent à occuper le coeur de la capitale. Cela aurait été considéré par toutes les forces antisocialistes comme une expression de l'impuis­sance de l'armée à réagir face à la contre-révolution, comme une claire indication que le pouvoir était totalement paralysé et pouvait, par conséquent, être renversé.

L'intervention de l'armée pour mettre fin à l'émeute anticommuniste, était devenue nécessaire, mais elle constituait en même temps la preuve de l'échec d'une certaine politique. En effet, l'orientation procapitaliste, pro-impérialiste de Hu Yaobang et de Zhao Zhiyang a provoqué un mécontentement justifié dans la population, tout en créant une grande confusion politique. Ne com­prenant pas la portée du programme du noyau dur de Tien An Men, une partie de la population de Beijing l'a soutenu contre l'intervention de l'armée.

Pour combattre la violence justifiée avec laquelle un pays socialiste se défend contre l'impérialisme, les pires fascistes jurent par l'humanisme et l'humanitarisme. Ce qui nous montre bien qu'il faut toujours faire une analyse de classe lorsqu'une force politique commence à parler d'humanisme. Le porte-parole du gouvernement fasciste de Taiwan a dit ceci, à propos des ingérences américaines en République Populaire de Chine: «Les Etats-Unis ont prouvé qu'ils sont dignes d'être le dirigeant du monde libre en affirmant bien haut les principes de l'humanitarisme et des droits de l'homme. *(80) Or, dans les premiers mois de 1990, au Salvador, des bandes fascistes, entraînées par Taiwan ont bombardé aveuglément les quartiers populaires de la capitale, massacrant la population à l'arme lourde. Arrivé à Taiwan, le 21 février de cette année, le président salvadorien, Christiani, déclare: «Ensemble nous serons capables de marcher sur la route de la liberté et de la démocratie. »(& 1) Lors de leur agression contre le Panama, un Etat indépendant, les Etats-Unis ont tué, d'après Eduardo Galeano, 7.000 civils. Tous les crimes inqualifiables de l'impérialisme, sont systématiquement effacés de la mé­moire de nos peuples, tandis que la répression justifiée dirigée contre la subversion impérialiste, à Beijing, est rappelée à la BBC, jour après jour, semaine après semaine, depuis plus d'une année, comme le plus grand crime contre

l'humanité. Nous ne pouvons pas être du côté des peuples du Salvador, du Guatemala, de Grenade, de Panama, d'Argentine, des Philippines, des peuples terrorisés par les Etats-Unis et par Taiwan, et ne pas être du côté du gouver­nement socialiste chinois qui combat les tentatives de reconquête de la Chine par Taiwan et les Etats-Unis.

(…) Nous sommes en désaccord avec tous ceux qui font de la lutte pour «la démocratie» la question essentielle. L'exemple de Tien An Men montre clairement que le mot «démocratie», prétendument au-dessus des classes, sert à propager le développement libre de toute sorte d'organi­sations antisocialistes et pro-impérialistes. Ainsi, «la dé­mocratie» est le mot d'ordre central de Taiwan et elle signifie dans ce cas le droit pour le parti fasciste du Kuomintang de revenir en Chine. Nous défendons le développement de la démocratie socialiste, c'est-à-dire la participation active et constante des masses populaires à l'édification du socialisme, à sa défense et au perfection­nement de son système politique et économique. Le dé­veloppement de la démocratie socialiste est conditionné par la révolutionnarisation du Parti. Un haut degré de démocratie socialiste dépend du travail exemplaire des communistes, de leurs liens avec les masses, de leur style de vie simple et de lutte ardue, de leur esprit de sacrifice, de leur fidélité, non pas en paroles mais en actes, (…)

 

(…) Le monde est devenu un. L'impérialisme en crise mène une offensive planétaire pour reconquérir aussi bien les pays nationalistes du tiers monde que les pays socialistes, tout en accentuant l'exploitation des ouvriers dans les métropoles.

Un internationaliste se trouvera toujours à côté des ouvriers et des travailleurs en lutte dans son propre pays, il soutiendra toujours les mouvements qui, dans le tiers monde, combattent l'impérialisme et la réaction, il se tiendra toujours du côté des pays socialistes, dans les succès comme dans les difficultés, et il tirera les leçons de leurs victoires comme de leurs défaites. Dans le climat actuel de triomphalisme de la droite et d'anticommunisme, il importe de faire connaître l'expérience et les points de vue des pays qui persévèrent dans la voie socialiste. Il ne faut plus se laisser intimider par l'arrogance stupide de la droite, mais oser défendre le socialisme, oser défendre la Chine, oser défendre Cuba, oser défendre l'Albanie, oser défendre la République Démocratique et Populaire de Corée.

En fin de compte, les peuples, conjugant leurs efforts, réussiront à enterrer 1 ' impérialisme et la cause du socialisme triomphera. (…)

Extraits du texte : « Tien An Men 1989 : de la dérive révisionniste à l'émeute contre-révolutionnaire », par Ludo Martens, dans Etudes Marxistes N° 12 septembre 1991, p. 57 à 71

Le texte entier peut être obtenu sur demande.

A diffuser sans modération !

Patrick Wautier